La bête et le feu - Partie 5/7

Sa main, lourde et chaude, s’est posée sur ma taille. Pas un effleurement : une prise. Sa peau était rugueuse et un peu crasseuse aussi. Il sentait la terre, le feu, la sueur. Une odeur brute, humaine et animale à la fois. Ce contact m’aurait dégoûtée, dans une autre vie. Mais là… il m’a fait tressaillir. Il m’a allumée.

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