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le Cocon de lectures érotiques
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En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, il jouit.
Monsieur Basson. Partie II
Je me trouve machiavélique. Le premier rendez-vous avec Monsieur Basson, c’était il y a trois semaines. Et ça m’obsède. Je n’arrive pas à me le sortir de la tête. Sa main qui sert la mienne, les secondes qui passent. La porte qui se claque derrière lui. Je sais qu’il en avait envie. Mais il est parti
Dix sept minutes et douze secondes
Je me suis allongée, toute habillée, comme si j'allais garder mes vêtements, peut-être un peu, finalement. Tout dépendra du temps.
Je rêve que j’ai un sexe d’homme
Je rêve que j'ai un sexe d'homme. C'est très intime mais pourtant, je dois l'avouer, j'en rêve souvent.
La colocation
Il faut que je te parle. Notre collocation n’est pas comme les autres. Je n’ai malheureusement pas le temps de t’expliquer comment on en est arrivés là mais… On a un jeu, bien à nous.
Celui qui jouait
Sur les toits de Paris et pas dans ton salon.
Nous bravons l’interdit pour vivre notre passion.
Sur les toits de Paris, nous dansons tous les deux.
Une danse d’aujourd’hui au plaisir contagieux.
Celui qui prend
On rentre dans la chambre, nouvelle pièce, nouveaux rôles, nouveaux jeux, nouveaux jouets. Je suis nue, toi pas, alors je te demande de te déshabiller. Tu enlèves tous tes vêtements, un à un. Je regarde ton sexe flaccide, il est beau. Aussi beau qu’en érection. Je pense qu’on ne parle pas assez de la beauté d’un sexe, même au repos. J’ai toujours trouvé ta bite magnifique, je te le dis et tu me souris, tu sais que je le pense vraiment tant je réclame souvent de la voir en photo.
Celui que j’aime
Mon amour je n'oublierai jamais cet endroit que nous avons trouvé par hasard. Essoufflés par cette randonnée assez rude on en a plein les jambes, il nous reste encore une heure de marche pour enfin découvrir la splendide vue tant vantée par le guide touristique. Je traîne des pieds mais tu m'encourages, tu m'encourages toujours pour marcher quand j'en ai marre. Tu sais que j'ai besoin d'une pause et tu as déjà une idée derrière la tête.
Celui qui maîtrise
Quelle idée de rencontrer un inconnu dans une chambre d’hôtel, loin de chez moi. Je tourne en rond, tu ne devrais plus tarder.
Ça toque à la porte. Je vais pour ouvrir, je pose mes doigts sur la poignée, je respire un grand coup. La porte s'entrouvre à peine et puis je sens une résistance. Tu la maintiens entrouverte et j’entends ta voix.
Celui qui recommence
J’ai envie de toi. Voila. Bravo.
J’ai envie de te déshabiller et te regarder nu. Un long moment. Peut-être juste passer mes doigts sur toi de temps en temps. Et te regarder, juste te regarder.
Celui qui se jette à l’eau
Je plonge dans la piscine, tout mon corps redescend en température en un instant, sensation brutale et agréable. Je me pose sur une large bouée de tout mon long, je sens le soleil qui se réfléchit sur chaque cm carré de ma peau. C'est à cet instant que je te surprends en train de m'observer. Un regard appuyé, je crois lire du désir, de l'envie.
Celle qui était folle
Je rejoins mes amis et la musique plein des oreilles, une gorgée de bière fraîche et le sourire aux lèvres, j'aimerai bien lui parler un peu plus à cette nana. Allez, arrête de rêver.
Celui qui me surprend
J'obéis, je soulève un peu mon cul, mon visage écrasé dans le sol et mes bras élancés au-devant de la tête. Tu te lèves, tu tournes autour de moi et je sens que tu me regardes sous toutes les coutures. Tu sembles satisfait.
- Tu es prête, on va commencer.
Celui qui était celle
Toi tu as un lit, moi j’ai le canapé. On reste plantées là, entre le salon et la chambre, on devrait se dire bonne nuit et aller se coucher. Mais tu ne veux pas dormir tout de suite, tu as envie d’autre chose, je le sais…
Celui que j’appelle Papy
Tu es arrivé avant moi. On est hors de la ville, l’environnement est calme et plutôt agréable. Il fait déjà très chaud pour un mois de mai, on se croirait en plein été. J’ai une petite robe légère et fleurie, j’allume une cigarette pour me donner une contenance et je t’attends devant le bâtiment. Les émotions sont si envahissantes dans ces moment-là : excitation, euphorie, enthousiasme, ébullition… Te voilà, enfin !
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