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le Cocon de lectures érotiques
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Un, deux, trois - Partie 2
Derrière moi, Théo est toujours accroché à mes hanches. Il m’embrasse le cou pendant que Charly s’empare de ma bouche. Mon corps fond sous leurs caresses, sous leurs baisers, et dans mon ventre, ça bouillonne, ça s’agite, ça réclame…
Un, deux, trois - Partie 1
Le problème, quand tu sors avec ton plan cul, c’est que l’issue de la soirée est déjà écrite. Vous allez finir ensemble, c’est tacite. C’est même pour ça que je l’ai invité à me rejoindre. Mais ce que je n’avais pas prévu, en revanche, c’est qu’il viendrait accompagné. Et encore moins que son pote me ferait littéralement craquer.
Le cours d’A - Partie 5
J’inspire profondément et décide de jouer le jeu. L’atmosphère me rassure : il n’y a ni jugement ni malaise, seulement une curiosité bienveillante. Cette sensation d’espace où chacun peut s’exprimer librement m’aide à franchir le pas. D’un geste rapide, j’enlève mes vêtements, ne gardant que mon caleçon. Une dernière barrière entre moi et le regard des autres. Je sais qu’il devra disparaître lui aussi, mais pas tout de suite. J’attends le dernier moment.
Le cours d’A - Partie 4
Je pensais voir toutes les mains de l’assemblée se lever, comme des élèves impatients de répondre à une question attendue. Mais au lieu de ça, je fais face à des regards hésitants, des hommes réservés, peut-être intimidés par la situation ou simplement peu enclins à se porter volontaires en public. Selon le règlement, la participation à la partie pratique n’est pas obligatoire. Pour l’instant, cela me convient, je préfère rester en observateur même si mon corps brule d’envie de mettre en application tout ce qu’elle vient de nous enseigner.
Le cours d’A - Partie 3
Lilou tient fermement le gode entre ses mains. Avec une précision presque rituelle, elle le badigeonne de lubrifiant, insistant sur l'importance de ne jamais en manquer, que ce soit sur l'anus ou sur la queue. Elle branle le silicone avec application, le faisant briller sous la lumière de la salle. Son sérieux, mêlé à cette étincelle de passion que je devine dans ses yeux, me fait frissonner. Ce petit bout de femme en tailleur, si professionnelle dans son allure, est en train de nous apprendre, depuis une heure, à "baiser des culs". Si on m’avait dit ça dans un autre contexte, je n’aurais pas pu m’empêcher de rire.
Le cours d’A - Partie 2
Elle projette une planche anatomique sur le mur et commence à parler du périnée, des muscles pelviens… Un véritable cours de SVT pour adultes. Mon esprit vagabonde un instant, mais Lilou sait comment recentrer notre attention. Elle enchaîne avec les classiques : les erreurs à ne jamais commettre, puis la meilleure façon de s’y prendre. C’est alors qu’elle sort un énorme mannequin en silicone, un cul de taille réelle qu’elle pose sur son bureau, bien en évidence au centre de la pièce.
Le cours d’A - Partie 1
J’ai le trac en poussant la porte de la salle de classe. Quand Nico m’a parlé de ce cours du soir la semaine dernière, je pensais qu’il plaisantait. Comme on dit, il faut le voir pour le croire. Et c’est sûrement pour ça que je suis là ce soir. Nous sommes une dizaine à nous installer. Les bureaux et l’agencement de la pièce me rappellent étrangement le collège. Pendant un instant, j’en oublierais presque pourquoi je suis ici. Tout semble si banal... sauf, bien sûr, l’objet du cours.
Depuis cette nuit
Je m'approche, je soulève la nappe et je me glisse sous la table, que le jeu commence !Ils sont huit, entièrement nus, assis autour d’une grande table rectangulaire couverte d’une nappe blanche qui descend presque jusqu’au sol. Des assiettes fleuries égaient la surface immaculée comme de vrais bouquets, les entrées viennent juste d’être servies. Je n’ai ni assiette, ni couverts, et pourtant j’ai extrêmement faim. Je suis debout, je baisse les yeux : moi aussi je suis nue. Je les regarde, ils commencent à manger quand Étienne m’adresse la parole :
— Léna, qu’est-ce que tu attends ? À table, dépêche-toi !
Je m’approche, soulève la nappe et je me glisse sous la table. Que le jeu commence !
Ce cher Robert - Partie 5
Sans hésiter, il m’entoure de ses bras et me serre contre lui, avant de m’embrasser avec une ardeur que je ne m’attendais pas à ressentir si tôt. Ses lèvres trouvent les miennes, et aussitôt, un frisson de désir m’envahit. Ce sentiment de retomber en adolescence, ce vertige si particulier, me prend tout entière. Je m’étonne de retrouver cette sensation presque oubliée, celle d’un élan irréfléchi pour un inconnu. Il prend ma main, entrelace ses doigts aux miens, et on commence à marcher côte à côte dans la nuit. Il m’indique qu’il habite tout près, à deux pas du bar.
Ce cher Robert - Partie 4
Je m’installe en face de lui, posant ma veste et mon sac sur la banquette à côté de moi, un peu comme si je prenais mes marques. Sans perdre de temps, je fais un signe au serveur et commande deux bières artisanales. Il m'avait confié, dans nos messages, que c'était son péché mignon, et je note avec satisfaction son regard, légèrement surpris, mais visiblement amusé par mon initiative. Il lève un sourcil, sourire en coin, comme s’il n’avait pas l’habitude qu’on prenne les devants…
Ce cher Robert - Partie 3
En lisant ces mots, je souris, un sourire sincère que je n’ai pas eu depuis longtemps. Finalement, pas de grands discours ni de longues hésitations, juste un élan simple, brut, presque évident. Ça me rassure et m’excite tout à la fois. Au fond, pourquoi rendre les choses compliquées ? Si ça doit marcher, autant plonger directement. Alors, on se tait pour le reste de la journée, chacun de notre côté, comme si on avait peur de brusquer cet équilibre tout juste trouvé, de déranger cette décision qui semble suspendue au-dessus de nous. Je pense à lui par moments, entre deux réunions, en vérifiant l’heure. Une légère excitation, un peu comme avant un premier jour d’école.
Ce cher Robert - Partie 2
Le dimanche matin, je recommence. Encore à moitié endormie dans mon lit, les yeux collés, j’attrape mon téléphone pour relancer l’application. C’est la première chose que je fais, comme une routine un peu honteuse. Il est à peine 8h, et déjà, un match : un certain Robert. Un sourire moqueur étire mes lèvres. Ce prénom me fait lever les yeux au ciel. Alors, je commence la conversation, un peu pour rire, un peu pour voir.
Ce cher Robert - Partie 1
Six mois. Il paraît que le nombre d'années passées en couple correspond au nombre de mois nécessaires pour se remettre d'une rupture. J'essaie de m'en convaincre, mais j’ai quelques doute sur cette théorie. Six ans ensemble, et cela fait six mois qu'on est séparés. Et pourtant, certains jours, c’est comme si c’était hier. Je regarde l’écran de mon téléphone, cet écran qui me nargue, et je me décide enfin : j’installe cette fameuse application de rencontres, celle dont tout le monde parle, celle qui s’apparente à un grand supermarché de mâles en quête de… De sexe, de connexion, d’une validation peut-être. Là où chaque profil est comme un produit en rayon, prêt à l’usage. Mais en vérité, je veux autre chose.
Le jeu du train - Claire
Je regarde Émilie quitter le wagon, attendant qu’elle disparaisse complètement de mon champ de vision avant de plonger mon regard à nouveau dans le sien. Cet homme, qui m’a bloquée contre le mur, n’a jamais cessé de me fixer. Son regard brûlant me transperce de part en part ; je me sens paralysée par le désir, comme figée dans cet instant.
— Alors, Claire ? murmure-t-il, approchant sa bouche de mon oreille avant de mordiller délicatement mon lobe.
— Alors… quoi ? Je parviens à peine à murmurer, ma voix tremblante.
— Cap… ou pas cap ?
Le jeu du train - Émilie
Je traverse les wagons d’un pas rapide, presque frénétique, mon cœur battant de plus en plus fort. Je repasse devant l’homme d’affaires, toujours absorbé par son écran, indifférent à ce qui se passe autour de lui. Mes pensées s'accélèrent. Et s'il était parti ? S'il avait quitté le train avant que je ne revienne ? Ça serait tellement dommage. Il me plaisait vraiment, avec son visage, son attitude désinvolte, sa musique qui le coupait du monde.
Je presse le pas, bouscule une femme sans faire exprès, m'excusant à peine. Enfin, j'ouvre la porte du sas et entre dans le wagon. Il est là, à la même place, et le fauteuil en face de lui est libre. Je m’assieds, essoufflée. Il enlève ses écouteurs, me dévisage, visiblement surpris, mais je vois dans ses yeux qu'il est heureux de me revoir.
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